"SI culture de la banane m'a permis de construire ma maison et d'éduquer les enfants de l'école primaire à l'université, la situation a été différente parce que cette agriculture a diminué et est maintenant difficile pour un parent de développer enfants éducation dépendent de l'agriculture», déclare John Kanyika.
John Kanyika (60) qui est un enseignant de l'école primaire Nduruma existante dans Arumeru District, la région d'Arusha est parmi les agriculteurs qui ont bénéficié de la culture de la banane qui ont longtemps été attendu aux résidents d'Arusha et du Kilimandjaro. Mais maintenant, la culture de la banane a commencé à diminuer en raison du changement climatique, la sécheresse et l'augmentation des investisseurs qui utilisent l'irrigation d'autres cultures en particulier les fleurs.
Kanyika qui auparavant ne pouvaient récolter une moyenne de 50 par mois le long d'une grande quantité de sa ferme a maintenant flétrie en raison des conditions de sécheresse ont manque d'eau d'irrigation qui est disponible dans Nduruma rivière qui a été versé de l'eau toute l'année. Il dit que la rivière a été le plus important investissement par les résidents du village de Nduruma autant de canaux ont fait de tirer de l'eau, jusqu'à leurs fermes et leurs kujilimia tous les types d'agriculture qu'ils veulent, mais pour l'instant le défi beaucoup ont renoncé à le jardinage, en raison de la difficulté d'acquérir l'eau.
"Un autre problème est la présence des investisseurs dans les plantations de fleurs dans le village de Nduruma qui utilisent beaucoup d'eau pour l'utilisation de l'agriculteur des champs de fleurs manque d'eau résultant d'irriguer les bananes», dit Kanyika. Cette zone de pluie n'a pas été un gros problème, parce qu'ils obtenaient saison des pluies ainsi que ce dernier, qui accède à Novembre et Janvier commence les longues pluies de Mars à Juin, quoique à différents maintenant à cause de ces changements.
Un autre agriculteur dans le village de Nduruma banane, Hamis a déclaré mardi que de nombreux agriculteurs ont été incapables de poursuivre l'irrigation dans les plantations de bananes, car ils dépendent de l'eau de la rivière Nduruma pas disponibles comme par le passé. Elle banane pour le moment est en danger d'extinction dans la région, en raison de la sécheresse et de la pénurie de sources d'irrigation d'eau.
"Dans le passé, la région d'Arusha était pas une pénurie de pluie ne sera pas changer la météo improbables ... les agriculteurs passent deux saisons de l'agriculture, où la saison des pluies a été la pluie de tomber sur Novembre à Janvier entre et le ressort commence Mars à Juin, mais maintenant les choses sont différentes ... le beau temps est imprévisible ", at-il dit mardi. Détaillant de marché de la banane à Arusha, Anna Jackson affirme que le prix des bananes a été formidable parce que la production de bananes a considérablement diminué.
Anna dit, au cours des dernières années, le prix des bananes a augmenté le temps de doublement et en même temps la qualité des bananes a diminué par rapport à il ya quelques années. Anna dit prix du marché central d'un régime de bananes, vend maintenant entre 25.000 et Sh Sh 30.000. Il suggère que la seule façon d'aider d'autres consommateurs qui sont particulièrement zone nord plupart d'entre eux utilisent la même nourriture est bonne introduction à la transformation de la banane plantain, de répandre l'utilisation dans la production de boissons.
Homme d'affaires sur le marché de Kilombero, Samson dit bananes soufre ont maintenant de la nourriture pour les gens riches ont des revenus bas personne ne peut se permettre le prix des bananes. Directeur exécutif de la recherche sur le développement de la communauté de l'organisation non gouvernementale (RECODA), Dominick Ringo, déclare que le changement climatique est le défi majeur dans la zone nord de la Tanzanie en raison de la sécheresse osabbisha et le changement climatique.
Ringo dit à surmonter les défis que son organisation encourage les agriculteurs utilisent la technologie pour la récolte des eaux de pluie et de les stocker pour umwajiliaji de bananes et d'autres cultures. Il dit que leur organisation avait réussi à réduire la pauvreté et ils ont combler le fossé numérique entre les agriculteurs à améliorer leurs vies. "Nous avons donné pouvoir à plus de 500 agriculteurs présents dans huit villages du district d'Arumeru, en fournissant une technologie abordable pour leur permettre de l'agriculture biologique», explique le spécialiste.
Il affirme que les agriculteurs de la région ont reçu une formation sur l'eau de pluie comment inclinée de la montagne et de l'utiliser pour la culture des bananes et d'autres cultures. Questions professionnelles du changement climatique, Ladislas Chang'a dit que les agriculteurs devraient lire la météo de l'été et de trouver des façons d'améliorer l'agriculture aux défis posés par le changement climatique.
Chang'a qui travaille Autorité Météorologique (TMA) insiste sur le fait qu'il ya une nécessité pour les agriculteurs sera basé sur les informations météorologiques et des stratégies pour faire face aux conditions de sécheresse qui augmente à mesure que les années égrènent. Chang'a affirme que la mauvaise éducation sont parmi les causes de faibles rendements et provoquant des pénuries alimentaires que les agriculteurs devraient en apprendre davantage sur l'agriculture moderne et l'évolution des méthodes agricoles en tandem avec le changement climatique.
La Tanzanie produit 2,6 tonnes de bananes par an et la production de bananes est plus pour la consommation domestique et la vente sur les marchés locaux. La culture de la banane existait depuis de nombreuses années. Dans les régions de la Tanzanie traitant de culture de la banane dans le pays est de Kagera, Kilimanjaro, Mbeya, Arusha, Manyara, Mara, Tanga, Morogoro, Kigoma, et la côte. Agriculture qui est célèbre pour la culture du bananier a été utilisé comme un aliment de base pour certaines régions particulières comme Kagera, Kilimanjaro et Mbeya.